Les unités sont optimales pour nous”, déclare Annette Markert. “Nous les faisons fonctionner au niveau 3 pendant les heures de travail, elles sont si silencieuses qu’on ne les remarque même pas. Pendant la pause déjeuner et le soir, nous les mettons au niveau le plus élevé. Le personnel est très content, heureux de bénéficier d’un air sain et ne cesse de le répéter.” Et après la pandémie ? “Les unités restent et ne finissent certainement pas dans un entrepôt !”
Si nous faisons un tel investissement, poursuit Annette Markert, nous voulons aussi un service professionnel. Nous avons immédiatement conclu un contrat d’entretien, car un équipement professionnel a aussi besoin d’un entretien professionnel.” La première visite de maintenance a eu lieu en avril 2021. “Les techniciens de service étaient là et ont tout fait si rapidement et de manière professionnelle ! Nous étions vraiment enthousiastes.” Tellement excités, en fait, qu’ils ont immédiatement commandé une autre unité. “En plus des purificateurs d’air, j’ai également acheté un feu de circulation de CO2. Lorsqu’il indique que l’air est épuisé, la fenêtre s’ouvre pour que tout le monde participe.